DÉPENDANCE, QUAND TU NOUS TIENS…

Dépendance, addictions, compulsions, craving.

DÉPENDANCE, QUAND TU NOUS TIENS…

Beaucoup de psychothérapeutes, thérapeutes et médecins se sont spécialisés dans le domaine du traitement des addictions, dépendances, etc.

Le défi est élevé, la tâche est lourde pour les intervenants. Pas facile de «dealer» tous les jours avec la détresse des gens.

Ayant une appréciable expérience de terrain dans le domaine du stress et de la dépendance je vais tenter, à mon niveau, d’apporter quelques lumières sur le sujet.

AVEC LES TOXICO ET DÉPENDANTS,
CE QU’IL FAUT ÉVITER

♦ Les longs exposés et entretiens sur les méfaits de la consommation de substances toxiques. Exposer, donner une éducation, transmettre des connaissances, tout cela est louable mais ne provoquera aucun changement quant aux automatismes de consommation. Pour résumer, faire appel à la raison et étendre les connaissances d’une personne sous addiction n’est pas la solution.

♦ Faire la morale et tenter de culpabiliser le patient ne provoque que de la colère et de l’amertume et est contre-productif.

♦ Multiplier les séances d’entretien et d’analyse pour identifier la cause ou l’origine d’une consommation ne relativisera pas pour autant son impact. Tout au plus, la prise de conscience et le raisonnement peuvent-ils être considérés comme préalables à une thérapie. La suite est autrement plus importante. Il faut s’adresser à celui qui gouverne ses comportements et habitudes de consommation : son SUBCONSCIENT

LA LIMITE DES GROUPES
DE PAROLE

♦ Garder la personne dépendante d’un groupe de parole n’aide aucunement la personne car seule la volonté est mise à contribution avec les limites que nous connaissons.

♦ Rendre cette ressource accessible aux plus démunis est louable, mais le temps est venu d’en changer le format et le contenu. Car son concept, à la base nord-américain, ne permet pas une resocialisation rapide. Comment s’y prend-on avec l’ex-dépendant qui doit rapidement se resocialiser et ce faisant, côtoiera nécessairement des gens qui consomment dans le cadre de ses activités socio-professionnelles ?

♦ Le maintien dans l’hyper-vigilance et la culpabilisation qu’entretiennent ces groupes de parole est au final destructeur de l’estime de soi-même. Rien ne vaut l’accompagnement individualisé qui permettra de reconstruire une forme d’autonomie.

♦ Le recours à un thérapeute ou un Neurocoach lors des rechutes préservera la dignité et l’anonymat du dépendant. La rechute dues au  «craving» (envie soudaine très dificicile à contrôler) sont particulièrement sensibles. 

LE SUBCONSCIENT « TRAVAILLE » POUR NOUS, COMMENT

On se souvient de l’adage : LE MENTAL RÈGNE, LE SUBCONSCIENT GOUVERNE.

Lorsque le subconscient cherche à nous ramener vers un SENS DE VIE, le mental, avec son principe de volonté, résiste au changement et génère une perte de repères qui ramène la personne à son addiction (soit à la sécurité de l’habitude, qu’elle soit nocive ou non). Des protocoles précis, tenant compte de la synchronicité des zones cérébrales, tels que pratiqués en Neurocoaching™ sont alors recommandés. 

C’est en mars 2016 que Michaël Zugaro et son équipe du Centre interdisciplinaire de recherche en biologie (CNRS, Inserm, Collège de France) à Paris ont pu apporter la preuve scientifique irréfutable que le cerveau «rejoue» la nuit ce qu’il a enregistré à l’état de veille.

Pour générer de nouveaux réflexes, l’hippocampe doit être en mesure de communiquer l’information au cortex préfrontal et c’est seulement en l’absence de stimuli parasites que cet échange est possible, à savoir pendant la période d’endormissement.

De nombreux chercheurs en étaient arrivés à cette conclusion mais nous devons reconnaître que c’est l’équipe française qui en apporte indubitablement la validation scientifique.

De là à dire que l’on peut apprendre une langue étrangère en dormant, la preuve n’est faite ni par l’expérimentation ni par la recherche scientifique. Par contre, l’émission de stimuli en état hypnotique et à l’approche du sommeil, a largement fait ses preuves. 

MON OFFRE POUR BIEN
COMMENCER 2017

Dans les cas d’addiction, aux automatismes et réflexes engrammés par le subconscient doivent se substituer de nouveaux réflexes. 

J’ai conceptualisé un programme en 21 étapes de 30 minutes à pratiquer en préparation au sommeil, un soir sur deux. Les effets dans la construction de nouveaux réflexes et automatismes sont très rapidement observables.

Ce programme personnel s’adresse à la personne qui:

♦ Souhaite ardemment reprendre sa vie en main à l’abri du regard des autres, dans la plus stricte confidentialité.
♦ Veut avoir une perspective plus lumineuse de son futur
♦ Veut sortir de l’ennui, de la déprime et éviter la dépression.
♦ Souhaite sortir rapidement et durablement d’un deuil, d’une cure de désintoxication ou d’un burn-out
♦ Craint la rechute ou l’échec lors d’une transition de vie, une réorientation, une resocialisation, une réinsertion.
♦ Veut reprendre la maîtrise de sa vie

Guy Hauray

Consulter notre code d’éthique et de déontologie.

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