PRENDRE UN NOUVEAU DÉPART QUAND
♦ Les courbes de la vie ont fait perdre balises et repères.
♦ Les perspectives du futur sont floues, l’ennui s’installe, la déprime est présente et la dépression frappe à la porte
♦ On souhaite sortir d’un deuil, d’une cure de désintoxication ou d’un burn-out
♦ On craint la rechute ou l’échec lors d’une transition de vie, une réorientation, une resocialisation, une réinsertion.
♦ On veut reprendre la maîtrise de sa vie et s’assurer un NOUVEAU DÉPART avec tous les atouts de son côté.
LAISSONS LE SUBCONSCIENT «TRAVAILLER» POUR NOUS
On se souvient de l’adage : LE MENTAL RÈGNE, LE SUBCONSCIENT GOUVERNE.
Lorsque le subconscient cherche à nous ramener vers un SENS DE VIE respectant personnalité profonde, ambition et talents naturels, il arrive que le mental résiste au changement. S’en suit une perte de repères génératrice d’angoisse.
Lorsque cette situation perdure, c’est le subconscient qui gagne et ce, au grand désarroi d’un mental qui perd ses repères. On assiste alors à un phénomène d’autodestruction, avec une fréquence de périodes à caractère schizoïde associée à des comportements de type paranoïde.
UNE VALIDATION SCIENTIFIQUE
C’est en mars 2016 que Michaël Zugaro et son équipe du Centre interdisciplinaire de recherche en biologie (CNRS, Inserm, Collège de France) à Paris ont pu apporter la preuve scientifique irréfutable que le cerveau «rejoue» la nuit ce qu’il a enregistré à l’état de veille.
Mais pour générer de nouveaux réflexes, l’hippocampe doit être en mesure de communiquer l’information au cortex préfrontal et c’est seulement en l’absence de stimuli parasites que cet échange est possible, à savoir pendant le sommeil.
Même si de nombreux chercheurs en étaient déjà arrivés à cette conclusion, nous devons reconnaître que c’est l’équipe française qui en apporte enfin la véritable validation scientifique.
De là à dire que l’on peut apprendre une langue étrangère en dormant, la preuve complète n’en est faite ni par l’expérimentation ni par la recherche scientifique.
CE QUE NOUS POUVONS FAIRE
Par contre, l’émission de stimuli pendant la transition ÉVEIL-SOMMEIL donne des résultats incontestables. Nous savons tous que nous poser la bonne question le soir en s’endormant nous apporte une réponse «flashante» le lendemain.
C’est pourquoi le conseiller en Neurocoaching ™ recommande de courtes séances de NeuroFocusing à pratiquer un jour sur deux en préparation au sommeil. Les effets dans la construction de nouveaux réflexes et de nouveaux automatismes sont très rapidement observables et durables. Pourquoi ? Parce que la volonté n’est aucunement sollicitée, c’est le subconscient qui influence la construction de nouvelles passerelles neuronales.
PAS D’IMPROVISATION
J’ai créé le Neurocoaching en 1985 et ma méthode n’est pas un cocktail éclectique de ceci ou de cela et n’est en rien comparable avec certaines approches d’hypnose ou de PNL. Le Neurocoaching™ est reconnu pour ses résultats observables, durables et mesurables, c’est pourquoi il a la faveur des dirigeants en quête d’économie de temps et d’efficience.
N’hésitez pas à me contacter !
@ bientôt !
Guy Hauray
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