Nous avons remarqué que les neurosciences valident les leçons des grands philosophes mais pas que…
Il nous est souvent dit que la culture de l’amitié, de l’écoute bienveillante et de l’entre-aide participe au bonheur : c’est vrai. Il suffit d’aider quelqu’un avec cœur pour sentir notre bien-être.
DONNER apporte plus de récompenses que RECEVOIR et il s’avère que les neurosciences valident cette qualité humaine. On achète bien sûr ! We buy it with no limit !
LE BONHEUR EST DANS LA SÉROTONINE. POURQUOI ?
Il s’avère en effet que cette ouverture de cœur participe à la production de SÉROTONINE dans le cerveau. Ce neurotransmetteur impliqué dans le sentiment de plénitude et de contentement, se révèle essentiel à la régulation de nos humeurs.
Ainsi, un cerveau baignant dans la sérotonine est indubitablement plus heureux.
ADDICTS AU PROZAC, ATTENTION !
D’ailleurs nombre de traitements de la dépression, à commencer par le plus célèbre d’entre eux, le PROZAC, agissent en augmentant le taux de sérotonine dans notre encéphale, du moins c’est ce qui est prévu, car beaucoup de ces soi-disant pilules magiques n’ont qu’un effet placebo, mais tant qu’on y croie…
Signalons au passage que la consommation de ce charmant psychotrope commence à faire des ravages chez les ados canadiens.
L’ANTAGONISTE AU PROZAC. À MÉDITER
À l’inverse, les neurosciences nous apprennent qu’il existe aussi une chimie particulière du mal-être, antagoniste à la sérotonine. Un neurotransmetteur pourtant encensé par beaucoup et qui finalement se retourne contre nous. Les Neurocoachs savent lequel et savent aussi comme ralentir son besoin, et vous ?
Je vous donne la réponse samedi prochain. Surveiller vos mails !
Pour vous relaxer pendant que vous cherchez la réponse, je vous engage à lire NEUROCOACHING EN MARCHE.
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