F.A.Q. – NEUROFLOW

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Pourquoi pratiquer NEUROFLOW

Son but premier est de réduire le stress chronique en synchronisant les aires cérébrales en état de dichotomie par rapport les unes aux autres.

Durant 30 minutes, le patient ou le coaché est appelé à imaginer des couleurs sur les circuits énergétiques du corps en y incluant le cerveau. Des couleurs sont suggérées et correspondent au taux vibratoire d’une personne non stressée.

Le coaché peut imaginer d’autres couleurs. Si c’est le cas, il ne sera pas surpris, à l’issue de quelques séances, de voir les couleurs proposées apparaître avec une couleur de plus en plus brillante. Cela signifie qu’il est moins stressé et que son tonus naturel est de retour.

Quand pratiquer NEUROFLOW

La sensation d’intensité que peut procurer NEUROFLOW, risque d’empêcher le sommeil des personnes ne souffrant pas d’insomnie. Pour celles-ci il est recommandé de pratiquer NEUROFLOW le matin ou à un moment favorable de la journée.

Pour les insomniaques, la pratique de NEUROFLOW les conduira à un sommeil très réparateur.

Qu’arrive-t-il si je m’endors en pratiquant NEUROFLOW

Ceci est banal et normal. Au cours de la période d’endormissement (passage du taux vibratoire alpha à l’état béta) le cerveau continue à capter les messages qui lui sont adressés.

Si vous vous endormez, dites-vous bien que cela répond à votre besoin prioritaire actuel, ne résistez pas. Si vous consommez des sédatifs, un sevrage graduel pourra être envisagé par votre médecin.

Qu’arrive-t-il lorsque ma pratique de NEUROFLOW est interrompue

C’est que vous n’avez pas su préserver votre intimité au préalable. Prenez soin de couper toute distraction extérieure avant de commencer (portable, visiteurs, etc.), votre demi-heure de NEUROFLOW ne doit en aucun cas être perturbée. Sinon recommencez depuis le début.

Suis-je contraint (e) à une position particulière pour pratiquer NEUROFLOW

La seule contrainte est dans la disponibilité de l’esprit et de votre concentration.

Vous ne pouvez pas pratiquer NEUROFLOW en conduisant votre automobile. Pour le reste, votre seule contrainte est dans la disponibilité de votre esprit et votre capacité de concentration. Et dîtes-vous que toutes les positions confortables sont équivalentes. Choisissez la vôtre en prévoyant une couverture, car votre corps va se refroidir. 

À quelle fréquence doit-on pratiquer NEUROFLOW

Deux à trois fois par semaine. Il est préférable de garder une journée de repos entre chaque séance. Dans certaines situations il peut être recommandé d’augmenter le nombre de séances hebdomadaires. Consultez une Expert-Conseil en NeuroCoaching au besoin.

Qu’est-ce qu’un « soleil »

C’est tout simplement le moyen le plus facile d’imaginer une source lumineuse quelle que soit sa couleur

Je ne vois pas de couleurs, je les imagine. Est-ce tout de même efficace

Bien sûr ! Le simple fait de porter votre attention sur un point précis de votre corps a un impact bénéfique.

Je ne vois pas les mêmes couleurs que celles suggérées.

Il est possible de percevoir spontanément une autre couleur que celle suggérée, gardez-là après quelques temps (un ou deux mois) la couleur suggérée apparaîtra.

J’ai de la difficulté à me concentrer et à terminer NEUROFLOW

Prenez soin d’éliminer tout facteur de distraction (surtout la sonnerie du téléphone). Prenez quelques instants pour vous couper du quotidien et laissez vos préoccupations de côté. Utilisez un casque d’écoute afin de vous isoler du milieu ambiant.

À un certain stade, il m’arrive d’être pris (e) de panique ou d’angoisse. Une envie de pleurer ou de m’enfuir me prend. Pourquoi ?

Cela arrive rarement. Toutefois NEUROFLOW a parfois pour effet de débloquer des émotions refoulées. Vivez ces émotions sans paniquer, c’est salutaire et libérateur. Si vous êtes en démarche avec un de nos Expert-Conseil en NeuroCoaching il saura vous renseigner et vous accompagner. Ne refoulez surtout aucune émotion ou pensée, c’est le moment idéal pour les comprendre et s’en libérer.

Je trouve le rythme trop rapide

La cadence imposée est le fruit d’une très longue expérience; il est souhaitable que vous parveniez à en suivre le rythme pour obtenir un résultat optimum. Ne recherchez en aucun cas la vacuité ou un état contemplatif.

Est-ce normal qu’après une séance je me sente comme dans un état second

C’est tout à fait normal. En fait c’est le but recherché, il faut passer par un état A-ÉMOTIF pour déjouer les résistances du mental. C’est une sorte d’état de « vide plein » un peu comme l’effet satori du zazen; on ressent tout à la fois, une impression d’extrême lucidité et de détachement. C’est pourquoi il est bon de se réserver un instant de recueillement après une démarche de NEUROFLOW.

Profitez de cet état pour voir objectivement les choses qui vous préoccupaient avant de faire la séance, ou pour penser à vous, à votre vie, aux gens que vous aimez.

Reprenez petit à petit vos activités, et vous vous sentirez reposé (e), énergisé (e), en plus d’avoir une vision claire de la réalité et des gens qui vous entourent.

Ma fille a 13 ans, est-ce qu’elle peut pratiquer NEUROFLOW

NON. Attendez qu’elle ait au moins 16 ans, quand sa gestation hormonale (pré-puberté / puberté / post-puberté) sera complétée.

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