CHOISISSEZ VOTRE ADDICTION.
- Quand la vie manque d’appétence
- Quand la routine déprime
- Quand on a graduellement perdu ses repères de vie
- Quand l’ambition, la motivation sont devenues absentes
- Quand on a perdu le contrôle de ses affects
- Etc.
On entretient un état d’ANGOISSE, on se dirige vers un BURN-IN, on se consume à petit feu, l’asthénie s’installe, on se sent vide.
Or l’humain ne peut rester indéfiniment dans cet état de vacuité. Son instinct de survie le dirigera inconsciemment vers une recherche de sensations. Bonjour les addictions aux jeux de hasard, au travail, aux sports à haut risque, à l’hypersexualité et à toute la panoplie des substances psycho-actives générant le sentiment de vibrer, de vivre.
ON EST DANS UNE ADDICTION DE SENSATION
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- Quand on est débordé, stressé (e)
- Quand on est inquiet, qu’on se fait du souci sans fondement
- Quand le syndrome du sauveur nous fait prendre trop de responsabilités
- Quand le stress de la performance nous fait foncer droit dans le mur
- Quand on manque d’AFFIRMATION DE SOI et qu’on ne sait pas dire NON
- Etc.
On entretient un état d’ANXIÉTÉ, on se dirige vers un BURN-OUT, on a besoin de décompresser, de s’évader. Graduellement on se ronge les ongles, on grignote, on dépersonnalise, le « à quoi bon » s’installe, on prend un verre de trop, le cannabis devient une habitude…
ON EST DANS UNE ADDICTION D’ÉVASION
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- Quand on souffre de carence affective
- Quand on recherche l’ESTIME DE SOI dans les yeux des autres et que les appréciations ne sont plus au rendez-vous.
- Quand, à tort ou à raison, on se sent dévalorisé (e)
- Quand on culpabilise
- Quand la vie tarde à nous apporter des plaisirs
- Etc.
On cherche inconsciemment des sensations de jouissance, de réconfort, de récompense. Les compulsions sont au rendez-vous.
ON EST DANS UNE ADDICTION DE COMPENSATION
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Ma liste est bien sûr non exhaustive et ma classification est sommaire et dépouillée du jargon professionnel habituel. L’exercice a pour but de vous mettre sur une piste de réflexion face aux différents types d’addictions qui s’offrent à vous.
Mais, me direz-vous, je ne cherche pas une addiction, j’en suis déjà pourvu (e). Je cherche à m’en sortir. Soit, je vais donc vous poser quelques questions.
Envisagez-vous de rejoindre un groupe de soutien?
Oui mais le problème c’est que je trouve impudique le «déballage» que cela implique. Je n’ai pas envie de me faire rappeler ad nauseam comment mon addiction gâche la vie des autres, je me sens déjà assez coupable comme ça. Et puis être entouré (e) de gens affligés de la même addiction, écouter leur histoire, leurs craintes de rechute… je ne vois pas en quoi cela m’aidera à sortir de mon addiction.
Envisagez-vous de vous informer via internet ou avec des bouquins?
Oui mais à quoi va me servir de savoir que mon amygdale limbique et mon noyau accumbens me jouent des tours? Je ne serai pas plus avancé (e).
Envisagez-vous de consulter votre médecin?
Oui mais j’ai peur de juste changer le mal de place. Qu’il me refile des médocs desquels je deviendrai addictif (ve).
Envisagez- vous d’entreprendre une cure de désintox?
Oui mais j’ai une copine qui en a fait une et a rechuté 6 mois après. Elle faisait une addiction au sucre, aujourd’hui elle a repris ses kilos et ça ne va pas en s’améliorant.
Envisagez-vous de vous sevrer par vous-même?
Oui mais j’ai peur de manquer de volonté. Et puis même si j’y parviens, mes amis vont conserver leurs habitudes et je risque la rechute lorsque je fêterai avec eux. Ça va être le supplice de tantale ou alors il va me falloir m’isoler, rester chez moi. Tu parles d’une vie…
Envisagez-vous de… NON stop aux questions! Je n’arriverai à rien par la contrainte, l’astreinte, les privations. Je sais que je n’arriverai à rien avec la méthode Coué non plus. Je sais que les efforts de volonté ne durent qu’un temps. Dites-moi plutôt ce que vous conseillez.
Vous l’avez bien exprimé. Toute démarche s’appuyant uniquement sur la volonté de la personne est vouée à l’échec. C’est le mental qui règne et qui nous entraîne vers l’addiction. Il faut donc s’adresser à son maître, celui qui gouverne : le subconscient. L’addiction étant un automatisme enregistré dans le subconscient, c’est donc à lui qu’il faut s’adresser non pas seulement pour trouver la cause, ce qui est relativement facile, mais en construisant de nouvelles connexion neuronales.
Sous l’influence de la simulation virtuelle, de votre théâtre intérieur, le cerveau va se reconfigurer en douceur et faire naître de nouveaux réflexes, un nouvel élan de vie, de nouvelles passions qui vous porteront vers une jouissance de vie renouvelée. C’est le miracle de ce que les scientifiques ont baptisée « neuroplasticité ».
Bon d’accord, ça semble sympa, mais où je vais pour ça? Nulle part. Restez chez-vous! Évitez les déplacements inutiles, le stress des embouteillages. Faites une démarche en toute discrétion dans le confort de votre foyer. Adressez-vous à un (e) Neuro-Coach. Les séances se font à distance via une ligne téléphonique internet, donc sans frais d’interurbain pour vous. Pour trouver un Neuro-Coach il suffit d’utiliser la ligne internet gratuite (00) 1.760.208.2572
En gros, comment ça se passe? Dans la première séance qui durera environ 1h30, le Neuro-Coach va trouver la cause profonde de votre addiction grâce à sa méthode de Master-Profiling. Ensuite il vous expliquera la stratégie qu’il envisage dans votre cas.
Stratégie? Oui, les séances en ligne durent environ 45 minutes, il peut être décidé d’adopter un rythme d’une séance à intervalles de 2 semaines. On doit laisser le temps au subconscient de faire son « travail ».
Je voyage beaucoup avec des horaires pas possibles, avez-vous d’autres alternatives? Oui, une démarche de sortie d’addiction en 12 séances de 25 minutes que j’ai enregistrée et que vous pouvez télécharger et écouter sur votre smartphone ou accéder en ligne ou que vous soyez. Et je vous recommande de vous faire accompagner de temps à autre par un Neuro-Coach pour supporter votre démarche.
Voilà, j’espère vous avoir apporté quelques éclairages et des pistes de réflexion. N’hésitez pas à m’appeler.
Consulter notre code d’éthique et de déontologie.
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