DISSIMULER SON STRESS
Se dissimuler la vérité ou dissimuler la vérité à son thérapeute sur son état mène droit dans le mur et l’on est fatalement sur une voie d’autodestruction.
La perte de sommeil, la prise prolongée d’anxiolytiques, d’antidépresseurs, de toute substance à base de benzodiazépine ou de substances psychotropes va fatalement entraîner une perte de concentration et une perte de mémoire qui ira en s’aggravant.
Et si l’on pense, qu’après un an de consommation, il suffira d’arrêter ces drogues pour régler le problème, on fait une grave erreur. L’arrêt de la consommation ne fera pas instantanément recouvrer le sommeil réparateur préservant ses facultés d’adaptation, d’apprentissage, de décision, d’anticipation, de concentration et de mémorisation.
Conclusion : le cerveau ne répondra plus comme avant et le sujet sera irrémédiablement handicapé, la neurogenèse étant durablement ralentie.
Mes 5 conseils :
♦ Au boulot, il vous faut respecter les codes en vigueur, refouler vos émotions, faire semblant d’être en pleine possession de vos moyens et de maîtriser la situation, supporter la mauvaise humeur du patron, des clients, etc. Vous êtes en état de vigilance permanent. Apprenez à relativiser et établir des priorités.
♦ En pénétrant dans votre «home» le soir, commencez par retirer votre persona, tombez le masque social. Et faites-le aussi avec vos amis, vos enfants, votre compagne ou compagnon de vie, votre parenté.
♦ Ne soyez le domestique de personne. Faites participer tous les occupants de votre résidence à la préparation des repas, des tâches ménagères et des courses. Participation est le mot-clé, n’ayez aucune indulgence pour les cossards. Votre santé en dépend … la leur aussi.
♦ Apprenez à célébrer la vie et marquez vos succès, vos petites et grandes victoires, en vous faisant des cadeaux.
♦ N’accordez pas aveuglément confiance au médecin sous prétexte que c’est le «médecin de famille». Un médecin doit prendre le temps de vous écouter et doit faire preuve de discernement en ne vous rendant pas dépendant à un médicament. Ne pas oublier que 50% des médecins sont en état ou en processus de burnout, un phénomène relativement nouveau.
♦ En pénétrant dans votre «home» le soir, commencez par retirer votre persona, tombez le masque social. Et faites-le aussi avec vos amis, vos enfants, votre compagne ou compagnon de vie, votre parenté.
♦ Ne soyez le domestique de personne. Faites participer tous les occupants de votre résidence à la préparation des repas, des tâches ménagères et des courses. Participation est le mot-clé, n’ayez aucune indulgence pour les cossards. Votre santé en dépend … la leur aussi.
♦ Apprenez à célébrer la vie et marquez vos succès, vos petites et grandes victoires, en vous faisant des cadeaux.
♦ N’accordez pas aveuglément confiance au médecin sous prétexte que c’est le «médecin de famille». Un médecin doit prendre le temps de vous écouter et doit faire preuve de discernement en ne vous rendant pas dépendant à un médicament. Ne pas oublier que 50% des médecins sont en état ou en processus de burnout, un phénomène relativement nouveau.
COMBIEN VITE CONSTATONS-NOUS LES DÉGÂTS ?
Cela arrive d’un coup, sans crier gare! Un beau matin on constate une difficulté à mettre un nom sur les personnes et les choses. À faire des efforts de mémoire, à consulter GOOGLE avec des mots-clés pour retrouver le nom d’un artiste, le titre d’un film, etc.
Les capacités de perception, de discernement et de réactivité sont affectées. On n’est plus le LEADER de sa vie ni de celles des autres et l’on devient vite malléable et corvéable.
En langage québecois, on dira que l’on est « légume ». L’entourage et les employeurs de l’handicapé constateront vite sa dégradation. Et n’allez pas croire que la mise en arrêt-maladie aidera sa carrière. L’aura de l’handicapé sera définitivement affectée et il sera illico étiqueté et … «mis sur la tablette».
POURQUOI EN ARRIVER LÀ
Les personnes ayant recours au Neurocoaching sont la plupart du temps au bout du rouleau. Elles ont essayé toutes sortes de thérapies, lesquelles ont été abandonnées par manque de courage du patient/client ou parce que les effets se faisaient trop attendre.
Pourtant, toutes les formes de stress ont une origine dont il est facile d’atténuer l’impact. Mais déceler l’origine d’un stress autodestructeur devient difficile lorsque la personne est sous antidépresseurs ou sous l’emprise de substances psychotropes depuis plus de 6 mois.
En règle générale, toute habitude de consommation de produits générant un soulagement passager du stress va en dissimuler les causes et diriger inexorablement la personne vers un BURN-OUT.
BYPASSER LES CAUSES
Lorsqu’une personne est sous addiction, il est difficile de la placer en état optimal de perception pour identifier les causes profondes de son stress.
Alors le Neurocoach va prendre une autre voie : utiliser la neuroplasticité du cerveau pour fixer de nouveaux automatismes de comportement. Et donc relancer la motivation intrinsèque sur un seul et unique objectif.
Ayant recouvré CONFIANCE et MOTIVATION INTRINSÈQUE, le stress sera contrôlé et ne subsistera ce que beaucoup appellent à tort le bon stress et que moi je préfère appeler L’URGENCE DE L’ACCOMPLISSEMENT.
JE VOUS ÉCOUTE
Même si ma base est située au Canada, je ne suis pas plus éloigné de vous que votre portable et il est facile de me rejoindre via ma ligne sans frais d’interurbain pour vous (00) 1.315.636.6199 ou via ma fiche de contact.
Je prendrai le temps de vous écouter et vérifier si le Neurocoaching™ peut vous aider sur les plans professionnel et personnel et ce, lors d’un entretien et un essai sans frais.
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