SE RÉCONCILIER AVEC SOI-MÊME
Mettre fin à une addiction et écarter les risques de dépression de sa vie est un acte d’amour envers soi-même.
Lorsque l’on souffre dans notre corps nous devons accepter un soulagement à l’aide de substances à base de morphine ou autres composantes. En bonne santé il est fortement recommandé de s’en abstenir. Les effets bénéfiques apparents cachent une triste réalité : on détruit ses neurones et on ralentit considérablement la neurogenèse, donc la naissance de nouveaux neurones.
En termes cru, les Québécois diront que l’on devient LÉGUME. La pensée devient moins claire, les efforts de mémorisation sont de plus en plus difficiles, une psychorigidité s’installe, le mental devient réducteur et l’on devient manichéen (c’est tellement plus facile). Lorsque le processus de dégradation commence il est irréversible.
Lorsque l’on est en bonne santé, la fuite dans la drogue est une preuve de faiblesse et un manque d’amour de soi-même. Point-barre
POURQUOI L’ADDICTION EST-ELLE CONSIDÉRÉE COMME UNE MALADIE
Simple. Notre système nerveux central que nous tentons de geler par la consommation de drogue, devient paresseux. Il résiste moins aux habitudes que nous instillons pour nous doper, nous calmer ou fuir.
De nouvelles habitudes s’installent insidieusement et n’allons pas imaginer pouvoir y mettre fin par notre simple volonté.
LA VOLONTÉ NE SERT QU’À CHANGER D’ADDICTION
Observez :
Tel fumeur a arrêté de vapoter, il se plaindra plus tard de ne plus entrer dans ses vêtements. Il calme son anxiété en bouffant. Rien n’est réglé.
Tel alcoolique a arrêté sa consommation, il se plaindra de vider ses poches dans des achats compulsifs. Rien n’est réglé.
Pourquoi ? Parce que l’on a oublié l’adage LE MENTAL RÈGNE, LE SUBCONSCIENT GOUVERNE. En d’autres mots, les automatismes de comportements sont nichés dans notre subconscient et ne comptons pas sur notre système nerveux central, affaiblit par notre consommation, pour réagir au quart de tour à notre volonté.
DES SIGNAUX FORTS
Pour modifier nos réflexes et automatismes, il faut nous donner les moyens. Quand je parle de moyens, je fais aussi référence à tout le fric que nous avons dépensé et à celui que nous n’avons pas gagné à cause de notre consommation.
Il nous faut donc investir un minimum de temps et d’argent pour nous en sortir définitivement et retrouver une véritable jouissance de vie.
Nos neurones ont besoin de signaux forts pour établir de nouveaux circuits dans votre cerveau. Évidemment que nos habitudes sont enregistrées dans notre système limbique. Le noyau accumbens, l’hypophyse, l’amygdale, etc. sont conditionnés et il nous faut les reprogrammer.
TOUT A COMMENCÉ PAR NOS MODES MENTAUX
Les pensées que nous avons entretenues sur nous-même et les autres. Les conditionnements qui ont dictés nos actions, etc.
Et pour en terminer avec une addiction, il nous faut faire un RESET.
MA PROPOSITION
Ceux qui ont lu ma bio savent quand et qui j’ai commencé à coacher voilà maintenant 42 ans. Sans trahir le secret professionnel, il est facile de déduire que j’ai eu affaire à de multiples types d’addictions. Je n’ai jamais cessé d’étudier et d’expérimenter les cognisciences. Et dans les cas d’addiction il s’agit bien de re-synchroniser le cortex préfrontal avec le limbique.
La méthode que je vous propose a fait ses preuves et continue de la faire notamment dans établissements carcéraux en Amérique du Nord. La preuve de son efficacité n’étant plus à faire, j’ai mis au point un concept de cours + démarche intitulé STOP ADDICTIONS
Une démarche en 15 étapes (projection mentale – audio 25 minutes – voix de Guy Hauray) sollicitant 7 pilotes mentaux et disposant de 165 questions de réflexion, briefing et debriefing. Une étape par semaine en préparation au sommeil à répéter 3 fois à intervalles de 2 jours.
Consulter notre code d’éthique et de déontologie.
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